ManpowerGroup - Génération Y et carrières : Vision à l'horizon 2020 (2016 Diaporama)

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Informations du dossier projecteur
Éditeur / Revue MAnpowerGroup
Date d'édition 01/05/2016
Type de document Etude(s)
Cette étude a été menée auprès de 19 000 jeunes de la génération Y dans 25 pays. Les résultats obtenus feront l'objet de quatre rapports publiés en 2016. Le premier d'entre eux : "Génération Y et Carrières : Vision à l'horizon 2020" dresse un état des lieux de la façon dont les membres de la génération Y envisagent leur carrière (vision mondiale et locale, par pays). Principaux constats : - Les membres de la génération Y envisagent leur carrière comme un long marathon. Plus de la moitié d'entre eux (51% en France) s'attendent à travailler après 65 ans. Ils sont 27% (16% en France) à prévoir d'être encore en activité à plus de 70 ans et 12 % (8% en France) répondent qu'ils travailleront probablement encore au jour de leur mort. Au Japon, ils sont plus d'un tiers à le penser. - Les membres de la génération Y sont appelés à travailler plus longtemps que les générations précédentes. 84 % d'entre eux (85 % en France) prévoient d'entrecouper leur carrière de congés sabbatiques ou de longue durée (plus de quatre semaines). Alors que les femmes envisagent plus spontanément des interruptions pour s'occuper des autres — enfants, parents âgés, etc. — hommes et femmes plébiscitent à égalité des pauses pour leurs loisirs. - Les membres de la génération du millénaire se déclarent prêts à adopter de nouvelles façons de travailler, faisant ainsi le pari de la rupture et de ses conséquences. Les trois quarts des membres de la génération du millénaire (85% en France) occupent un emploi à plein temps aujourd'hui, mais plus de la moitié indiquent être ouverts à de nouveaux modes de travail à l'avenir – free-lance, "petits boulots" ou cumul de plusieurs activités rémunérées. Ils sont 34 % au niveau mondial à envisager de travailler en auto-entrepreneur (22% en France). - 93 % des membres de la génération Y sont prêts à consacrer de leur temps et/ou de l'argent pour se former davantage. L'étude souligne l'existence d'une corrélation positive entre le succès d'une carrière — meilleure formation, meilleure préparation à l'emploi et meilleure rémunération — et la "facilité d'apprentissage", définie par la soif et la capacité d'apprendre.