Malgré les procès intentés par la profession, la startup a gagné le droit d'exercer. Elle propose des forfaits permis moitié moins chers que ceux des auto-écoles classiques, grâce à la dématérialisation du métier. Elle travaille avec 150 moniteurs indépendants, diplômés, propriétaires de leur véhicules et gagnant 40 % de plus qu'en auto-école classique. La startup veut s'implanter partout en France dans les dix-huit mois.
Sources :
Article signé Emmanuelle Pesez L'Express 07/03/2018
15/03/2018