Goodwill
Lors du rachat d'une entreprise, la comparaison du bénéfice moyen (dégagé par l'entreprise sur une certaine période) avec la rémunération qu'aurait rapportée l'actif net de l'entreprise si le montant de celui-ci avait été placé au TMO (taux moyen des obligations du secteur privé) permet d'extérioriser, en théorie, un "superbénéfice" ou une "superperte".
Le "goodwill" est le multiple de ce "superbénéfice" que le repreneur consent à payer en plus pour racheter l'entreprise, car celle-ci a un rendement supérieur au TMO. La "superperte" agit en sens inverse, il s'agit alors de "badwill".
Plus simplement, le "goodwill" correspond à la différence positive entre le prix qu'accepte de payer l'acquéreur d'une entreprise et le montant de l'actif net de cette dernière.
Le "goodwill" est le multiple de ce "superbénéfice" que le repreneur consent à payer en plus pour racheter l'entreprise, car celle-ci a un rendement supérieur au TMO. La "superperte" agit en sens inverse, il s'agit alors de "badwill".
Plus simplement, le "goodwill" correspond à la différence positive entre le prix qu'accepte de payer l'acquéreur d'une entreprise et le montant de l'actif net de cette dernière.